[BG] Gadias

L'endroit d'où je venais était paisible, calme, resplendissant, je venais d'un village Atlante, ma mère m'avait mis au monde là-bas, j'ai vécu, appris, tout ce que je sais en Atlantide. Pour mon père la vie était plutôt dure, il avait du mal à s'occuper de nous donc des fois je le voyais partir, je ne sais où, je pense qu'il partait à la chasse, pour nourrir ma mère et moi mais, aujourd'hui bizarrement, il était en retard, soudain je le vis arriver et me dit :

« -Vas te cacher, ils arrivent ! »
« -De qui père, qui ? »
« -Les démons ! »
« -Non père ! »

Je le vis mourir devant mes propres yeux puis je courus chercher Aeriane, ma mère et l'emmena dans la forêt tout ta coup, j'aperçu un elfe, je courus vers lui pour lui demander de l'aide mais ne me répondit pas. Je l'entendis parler à quelqu'un. Je lui demandai :

« -A qui parlez vous ? »

L'elfe inconnu me répondit :

« -A Artamir mon dieu, c'est le dieu des Atlantes. Mais avant, qui es tu ? »
« -Je m'apelle Gadias fils de Gadrios. »

L'elfe étonnait me regarde et me dit :

« -Gadias?! Tu es Gadias ? Je te cherche depuis une décennie. »

Etonné, je lui demandais :

« -Pourquoi donc me cherchez vous ? »

« -Pour accomplir la prophétie, que par nos sangs, le peuple des Atlantes renaisse de ses cendres.
Comme tu es son fils, tu es de son sang, il faut que tu partes à mes côtés pour le château de Gardrock mais ce ne sera pas si facile, il y aura un camp de créatures de l'ombre à passer. »

Je pris mon cheval et partis aux côtés de l'elfe.
Puis, en court de route, je me posais toujours une question :

« -Quel est ton nom elfe ? »

L'elfe s'arrêta et me répondit :

« -Je me nomme Arion fils de Abarion, Atlante de même. »

Après deux jours de galop, nous atteignirent les créatures à tuer, massacrer ...
Nous nous cachions jusqu'à ce que nous puissions les avoir par surprise, ce fut un vrai massacre, violent, barbare !
Après ce combat si difficile nous repartîmes vers notre objectif...

Nous continuèrent à galoper et nous arrivèrent au château mais à ce moment là, un coursier arriva et me donna une lettre destinée qui n’était destinée. Je la pris, la lus, mon visage se durcit à l'instant même où mes yeux se posèrent sur l’écriture fine. D’ un geste vif, je pris mon cheval et galopais jusque chez ma mère et la trouvais morte...

Je reconnaissais la marque qu'ils avaient inscris sur son front, le signe de Bhaal, la cavalerie de l'ombre...
Je fis le serment de venger mon père ainsi que ma mère en tuant Bhaal.

Je partis réaliser ma quête ...